Il est communément admis que les tâches routinières seront toujours plus automatisées. Dans l’entreprise, quels domaines resteront à l’humain, comment s’y prépare-t-il, avec quel soutien de l’entreprise ?
L’enquête lancée par Coorpacademy by go1 et Féfaur permettra d’esquisser la vision qu’en ont les responsables formation-RH. Prenez quelques minutes pour y contribuer !
La double transformation en cours
Paysage : une double transformation d’ensemble (digitale, environnementale) qui constitue le socle de récentes crises à répétition dont la gravité semble croître à mesure qu’elles s’accélèrent et s’accumulent.
Hors l’humain point de salut
La digitalisation des activités, en particulier, sonne le glas d’une façon de faire et d’être au travail : la routine est traquée, qui permettait parfois (souvent ?) aux personnes d’être au travail sans l’être vraiment (ce qui, contrairement à ce qu'il semble en première lecture, n’est pas toujours sans avantage pour la personne ou l’organisation).
La routine disparaissant, l’humain peut être désemparé. Sauf à « monter en gamme », entendre : trouver sa place (proprement humaine) dans une nouvelle organisation du travail, horizontale, collaborative, outillée de robots laissant libre champ à la créativité et à l’épanouissement personnel, et, par voie de conséquence, à l’innovation et au développement de l’organisation.
Le paysage pourrait être plus sombre qu’il n’y paraît : au-delà des routines, les « hard skills » (compétences métier) sont, elles aussi, au moins partiellement, automatisables, car on ne doit pas se faire trop d'illusions : la pente est naturelle : tout ce qui peut être automatisé — effectué par des agents « travaillant » 24/24, 365 jours par an, sans réclamer de salaire — le sera.
La question sous-jacente est celle de la meilleure allocation de ressources : l’humain ne doit pas être « gâché » là où il peut être remplacé avec la plus grande efficacité par un automate ; il doit au contraire se concentrer sur des apanages qu’on ne saurait lui contester — ce qui lui impose de développer et de mobiliser des compétences spécifiquement humaines (soft skills, compétences comportementales, etc.).
Former aux soft skills, question de survie pour l’entreprise ?
Posée à tout un chacun (« mon employabilité dans l’avenir du travail ? »), la question concerne aussi l’entreprise : peut-elle compter sur l’humain et sur ses soft skills, comme sources d’un futur développement ?
C’est l’objet de cette nouvelle étude Coorpacademy by go1 et Féfaur, par et pour les décideurs formation-RH, qui portera notamment sur le bénéfice potentiel des soft skills dans les transformations en cours et sur le rôle de la formation dans leur développement.
En participant à l’enquête Coorpacademy by go1 x Féfaur : Former aux soft skills : question de survie pour l’entreprise ? - vous communiquerez en quelques minutes votre retour d’expérience et vous pourrez situer vos réponses par rapport à celles des autres entreprises du panel Coorpacademy by go1 x Féfaur.
Les participants à l’enquête recevront le rapport complet de l’étude en avant-première et seront invités à la conférence de restitution du 18 avril.
Pour répondre l’enquête
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